J’ai rencontré la nuit du début Ramadan de l’an dernier , le président Ould Abdel Aziz sur leur (l’Autorité et ses délégués) ‘initiative .
Nous avons convenu d’entourer de secret la réunion. Son thème principal était une discussion franche et approfondie sur les dangers du référendum pour le pays, la Constitution et la situation politique.
Car , pensant que mes mots et opinion avaient un impact, que cela ouvrirait l’horizon à une compréhension politique nécessaire au pays, .
Mais le président a précisé qu’ils avaient fait des avancées à propos du référendum et qu’ils ne pourraient plus reculer.
Malgré mon insistance et le prolongement de la discussion à ce propos, l’homme est resté sur sa position, précisant que le référendum sera mis en œuvre ajoutant : » mais gardons le contact et verrons »
J’ai été clair en ce que la principale chose que nous avons , en tant qu’opposition ,qui exprime l’humeur populaire , est l’annulation du référendum.
Je n’ai pas commenté l’offre de poursuivre le contact après le référendum.
Au cours de la discussion, divers points ont été soulevés, dont celui des sénateurs et leur vote contre le projet d’amendements constitutionnels.
La divergence sur ce point était claire : Ould Abdel Aziz estime que nous considérons les sénateurs comme des « héros » et eux (au pouvoir) les considèrent autrement.
…………………..j’aurais préféré garder confidentiel , cette rencontre avec le président de la république , comme convenu, surtout qu’elle n’a pas abouti, si le président de l’UPR (O.Maham) qui n’y était pas associée, ne l’avait divulguée publiquement
